MENU

Un connecteur de carte à puce pratiquement inusable

Un connecteur de carte à puce pratiquement inusable

Nouveaux produits |
Par eeNews Europe



Cette gamme répond aux besoins d’un éventail d’applications allant des points de vente (POS) à la télévision payante, en passant par les boîtiers décodeurs, les transports et l’identification. Ces applications diffèrent largement les unes des autres en matière de coûts et de caractéristiques techniques. Par exemple, une application de point de vente impose une excellente fiabilité et un nombre de cycles très élevé, alors qu’un boîtier décodeur, où la carte n’est pas insérée très fréquemment, requiert un coût modique et un nombre de cycles d’insertion faible.
Les différentes gammes proposées par ce constructeur offrent un large choix d’options pour répondre à des applications différentes, notamment des extrémités pour montage traversant ou en surface, des contacts à friction ou à surface d’appui, en version blindée ou non.
Le choix du type de contact adapté est un aspect essentiel, car les modes de contact à friction ou à surface d’appui ont des caractéristiques différentes, aussi bien en coût qu’en nombre d’insertions de la carte.
Les contacts à surface d’appui consistent en pièces de contact mobiles à l’intérieur du connecteur. Ces pièces bougent pour se connecter aux pastilles de la carte une fois celle-ci insérée. La surface de la carte n’est pas rayée, ce qui permet aux connecteurs de réaliser un nombre de cycles plus élevé, environ 500000.
Les contacts à friction sont fixes à l’intérieur du connecteur. Quand la carte est insérée, elle frotte contre les contacts jusqu’à ce que ceux-ci atteignent les pastilles. En fonction de la surface de la carte, il peut apparaître des traces de frottement après quelques cycles d’insertion, mais qui n’altèrent pas le fonctionnement de la carte. Les contacts à friction constituent un choix économique et offrent un nombre de cycles relativement faible, environ 100000.


La détection de la carte se fait soit par un commutateur à lame, soit par un commutateur étanche. Les commutateurs étanches sont "enfermés" dans un boîtier en plastique qui les isole du monde extérieur, alors que ceux à lame sont contenus dans le corps en plastique du connecteur et donc exposés aux influences extérieures. Les commutateurs étanches sont, par construction, plus fiables que les modèles à lame. En général, les commutateurs étanches assurent 500000 cycles alors que ceux à lame en assurent 100000. Ces commutateurs existent en types normalement ouvert et normalement fermé.

www.gct.co

Si vous avez apprécié cet article, vous aimerez les suivants : ne les manquez pas en vous abonnant à :    ECI sur Google News

Partager:

Articles liés
10s