
Software République, l’écosystème lancé par Renault
Annoncée à l’occasion de la présentation du plan stratégique Renaulution en janvier, la Software République de Renault est devenu une réalité !
Elle a été lancée en présence de Luca de Meo, CEO du Groupe Renault et de ses homologues d’Atos, Dassault, ST Microelectronics et Thales, premiers partenaires fondateurs. La cérémonie s »set déroulée au tout nouveau bâtiment Odyssée du Technocentre Renault. Au cœur de ce projet, des entreprises leaders et des start-up innovantes s’unissent pour apporter des solutions et des systèmes de mobilité qui dessineront les nouveaux moyens de la mobilité.
Par la mise en commun de leurs expertises complémentaires en matière d’intelligence artificielle, de cybersécurité, de systèmes embarqués ou bien encore de “big data”, les partenaires envisagent de développer de nouveaux logiciels et solutions pour permettre aux opérateurs de services de mobilité de proposer aux personnes, aux entreprises et aux collectivités des offres facilitant les déplacements, améliorant le quotidien des utilisateurs et la gestion de l’énergie. Ces offres intégrant les systèmes à bord des véhicules, les plateformes de services ou encore les outils d’exploitation des réseaux seront toujours plus accessibles, simples, fluides, multimodales, responsables et sécurisées.
La Software République pourra accueillir au sein de son incubateur de nouveaux membres s’ajoutant aux cinq leaders fondateurs. Ce seront aussi bien de grandes entreprises comme start-ups et développer ainsi un environnement collaboratif de développement et d’expérimentation.
Grâce à ce système d’innovation ouverte, la Software République offrira des opportunités de développement pour l’industrie, les infrastructures, les télécommunications, mais aussi l’aéronautique et la Défense. C’est aussi un outil de souveraineté dans un marché planétaire sur lequel les Etats-Unis et la Chine ont déjà pris position. Aujourd’hui les membres fondateurs de la Software République expriment l’urgence pour la France et l’Europe de construire collectivement un écosystème durable qui vise à assurer leur souveraineté dans ce domaine.
