Résistance de shunt à plaques métalliques à profil ultra bas
ROHM a développé la plus fine résistance de shunt à plaques métalliques de 12 W de l’industrieLes résistances de shunt sont utilisées depuis longtemps dans les modules de puissance des équipements industriels. De même, dans le secteur automobile, on assiste à une hausse du nombre de modules de puissance compacts à double refroidissement adoptés dans les applications d’Inverter des xEV exigeant des puces d’appareils d’alimentation incorporées (IGBT et MOSFET SiC) et des résistances de shunt pour réduire la taille du boîtier.
Les résistances de shunt de puissance les plus fines du marchéLes résistances de shunt conventionnelles à plaques métalliques réduisent l’efficacité de refroidissement des appareils d’alimentation en raison de leur profil relativement haut. Mais la diminution de la hauteur s’est avérée difficile, car il est nécessaire de prototyper et d’évaluer une variété de matériaux de soudage dans différentes configurations. ROHM est en mesure de tirer parti de ses points forts en matière de fabrication et de conception pour créer des prototypes en petits lots dans une gamme de matériaux et de modèles de soudage. Cette capacité de développement flexible et adaptée aux besoins du marché permet de développer les résistances de shunt de puissance les plus fines du marché. Le modèle PSR350 utilise le système de production intégré verticalement de ROHM ainsi que l’optimisation des matériaux et des processus pour atteindre une épaisseur de seulement 0,03 pouce (0,85 mm), soit environ la moitié de celle des produits conventionnels de la classe 12 W. La même technologie est utilisée pour développer la plus petite résistance de shunt de 15 W (0,25 pouce x 0,25 pouce / 6,4 mm x 6,4 mm) de l’industrie (PSR330). Cela réduit la taille d’environ 65 % par rapport aux produits conventionnels de la même classe, ce qui contribue à réduire la surface de montage dans une large gamme d’applications haute puissance. Dans le même temps, le modèle PSR100 sera disponible dans un modèle de 0,2 mΩ qui étend la limite inférieure des 0,3 mΩ existants pour permettre la détection de courants encore plus élevés. |
Suivre ECInews sur Google news