
Des cellules solaires qui s’auto-réparent dans le noir
Ainsi, cette collaboration franco-américaine, incluant deux chercheurs rennais du CNRS et de l’INSA Rennes, vient de mettre en évidence que ces matériaux s’auto-réparent très rapidement après diminution de leurs performances sous rayonnement solaire. Il suffit pour cela de plonger ces cellules solaires quelques minutes dans le noir.
Les scientifiques ont également proposé une hypothèse permettant d’expliquer ce phénomène dans leur article publié le 16 mai 2016 dans la revue Nature Communications.
Les cellules photovoltaïques en pérovskite, dont les rendements ont explosé ces dernières années, deviennent une alternative de plus en plus sérieuse à celles en silicium qui dominent actuellement le marché.
www.cnrs.fr/inc/communication/direct_labos/katan2.htm
lejournal.cnrs.fr/articles/photovoltaique-la-fievre-perovskite
