Un écosystème cohérent d’afficheur microLCD pour IHM
Diltronic annonce l’extension de la famille microLCD de 4D Systems avec la série uLCD-56D. Un afficheur intelligent de 5,6 pouces pensé pour des IHM modernes et exigeantes. Au cœur des modules, le processeur graphique DIABLO-16 délivre des rendus fluides, des animations propres et des fonctions avancées sans recourir à un contrôleur externe.
Un écosystème cohérent
En effet, la gamme se décline en trois variantes pour couvrir des besoins d’intégration distincts : uLCD-56D (affichage seul) pour les interfaces non interactives ; uLCD-56DCT pour les applications pilotées en tactile ; et uLCD-56DCT-CLB, qui ajoute un « Cover Lens Bezel » qui apporte rigidité, protection en façade et une finition adaptée aux environnements industriels et commerciaux. Ce découpage permet de choisir le bon compromis entre interaction, robustesse mécanique et coût, sans changer de plateforme matérielle ou logicielle. Ains, les équipes conservent leurs habitudes de développement grâce au Workshop4 IDE, ce qui réduit la courbe d’apprentissage et accélère la mise sur le marché.
La cohérence de l’écosystème, c’est surtout de profiter du même processeur graphique, des mêmes outils et en plus des mêmes bonnes pratiques. Pour un bureau d’études, cela signifie des interfaces réutilisables, des chaînes d’intégration stables et un portage facilité d’un projet à l’autre, y compris vers d’autres familles d’écrans intelligents de 4D Systems. Cette homogénéité se traduit par moins de temps passé à gérer des divergences techniques et plus de temps consacré à l’ergonomie, à la logique métier et aux contraintes de fiabilité.
Côté usages, la série 4D Systems de Diltronic ise des IHM industrielles, des équipements médicaux et de laboratoire, des instruments de test et mesure, ainsi que des appareils commerciaux ou des systèmes de transport où l’on une interface réactive, lisible et durable est indispensable. De ce point de vue, la version CLB sécurise la façade (chocs, nettoyages répétés), tandis que la version tactile standard conserve la finesse d’interaction pour les applications moins exposées. Les utilisations strictement « affichage » se tournent vers le modèle non tactile afin d’optimiser le budget et les nomenclatures sans sacrifier la plateforme logicielle.
Standardiser l’IHM sur une base commune
En pratique, adopter la uLCD-56D revient à standardiser l’IHM sur une base commune : même outil, même API, même philosophie de design, avec la liberté d’opter pour l’interaction tactile ou une façade renforcée selon le cahier des charges. Pour un responsable technique, c’est l’assurance d’un cycle de développement maîtrisé, d’une maintenabilité plus simple et d’un risque projet limité, tout en gardant la marge d’évolution nécessaire aux prochaines générations d’équipements.
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